Le festival a été créé par la danseuse et chorégraphe burkinabè Irène Tassembédo, qui fait partie des figures de la chorégraphie contemporaine en Afrique. De par son caractère multiculturel, son souci de faire vivre les patrimoines africains et son inscription dans le présent, le FIDO entend revenir à la danse d’expression plurielle, a rapporté « Music In Africa », un portail d’information et de mise en réseau dédié au secteur de la musique africaine.
Le festival se propose comme un espace de rencontre, de création, de transmission, de partage et de métissage des cultures, des formes et des techniques dans le champ de la danse, a ajouté le portail, citant les organisateurs. Les participants à la nouvelle édition (compagnies de danse traditionnelle, contemporaine et urbaine, artistes danseurs solo et duo…) seront sélectionnés à l’issue d’un appel à candidatures. La onzième édition a été organisée du 21 au 28 janvier 2023 sous le thème : « héritages », a-t-on rappelé.
Avec dpa-news