Il s’agit, selon l’ICT, de permettre à ces entreprises d’exploiter le potentiel de l’augmentation du commerce intra-africain ainsi que de promouvoir le partage d’informations commerciales sur les marchés par le biais de l’Observatoire du commerce africain (OCA).
Quatre domaines sont mis en évidence dans cette coopération, à savoir la consolidation de l’OCA, la promotion des chaînes de valeur continentales industrielles, l’intégration des petites entreprises dans le commerce régional et l’autonomisation économique des femmes et des jeunes entrepreneurs.
L’accord répond aux changements de l’économie mondiale et au processus d’intégration en cours en Afrique, étayé par la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Il réaffirme également « la vision commune » de l’Union africaine et l’ONU pour le développement des petites entreprises.
« Ensemble, nous continuerons à doter les petites entreprises des informations et des compétences dont elles ont besoin pour s’intégrer dans les chaînes de valeur régionales et continentales et obtenir la visibilité dont elles ont besoin grâce à un label Made in Africa », a déclaré la directrice de l’ITC, Pamela Coke-Hamilton.
Au début du mois de mai, l’Organisation africaine de normalisation (ARSO) et l’ITC ont signé un accord pour contribuer aux efforts déployés à l’échelle du continent en vue d’établir un label « Made in Africa » et de stimuler le commerce dans le cadre de la ZLECAf.
L’accord prévoit également de promouvoir les normes régionales dans les secteurs prioritaires de la ZLECAf et l’écolabel Eco Mark Africa. Les deux organisations travailleront ensemble pour aligner les politiques nationales de qualité sur la politique africaine de qualité.
Avec dpa-news