Il est relié au réseau ferroviaire pour permettre le déchargement, le stockage et le transport rapide des céréales vers le terminal intérieur de Nairobi tout en réduisant les coûts de transport et de logistique au profit des meuniers et des transformateurs.
Le terminal dont les travaux de construction ont démarré en 2019 est doté d’une capacité de manutention d’au moins 134000 tonnes de marchandises. Il a couté 9,5 milliards de shillings, soit environ 70 millions de dollars, ont rapporté des médias kényans.
Il fournira une solution logistique « transparente » avec des avantages, tels qu’une installation de dédouanement sur place, des coûts d’inventaire plus faibles et de transits plus courts, a expliqué le président de GBHL, Mohamed Jaffer.
Présidant l’inauguration, le chef d’Etat kényan William Ruto a déclaré que le terminal allait contribuer « de manière significative » à l’utilisation commerciale du chemin de fer à écartement standard « qui est un élément essentiel » de l’infrastructure nationale de transport du Kenya.
En 2017, Le Kenya a mis en œuvre le projet de chemin de fer à écartement standard de Mombasa à Malaba. Le projet prévoyait la modernisation et l’expansion du dépôt intérieur de conteneurs à Embakasi pour apporter une solution aux problèmes de capacité du port de Mombasa.
GBHL possède et exploite deux terminaux de vrac sec dans le port de Mombasa, d’une capacité totale de 414 300 tonnes, dont un terminal de 258 500 tonnes pour la manutention des céréales et un terminal de 155 800 tonnes pour les autres marchandises en vrac sec.
Avec dpa-news