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Le PNUD appuie la vulgarisation du Code de bonne conduite des médias, guide de référence des journalistes Guinéens notamment en cette période de transition. L’atelier organisé à cette effet, a été lancé dans la matinée d’hier mercredi 11 Mai 2022, au chapiteau du Palais par le Président de Haute Autorité de Communication (HAC), M. Boubacar Yacine Diallo, en présence de Mme la Ministre de l’information et de Communication, Mme Rose Pola Pricemou, du Représentant résident du PNUD, M. Luc Joël Grégoire, du Procureur général près la Cour d’Appel de Conakry, M. Charles Wright et du Représentant du Haut Commandant de la Gendarmerie et Direction de la Justice Militaire.
Les codes de bonne conduite sont généralement définis comme des principes de bases qui guident les médias et les journalistes dans leur travail et dans le respect des règles d’éthique et de déontologie. Le Code de bonne des journalistes Guinéens, élaboré avec l’implication des associations de presse, vient ainsi rappeler le rôle et la responsabilité sociale des médias dans construction de la Démocratie et la préservation de la quiétude sociale en cette période de transition.
C’est pourquoi, dans les différents discours, prononcés, les journalistes ont été invités à s’en approprier et à appliquer les règles dans l’exercice et la pratique du métier. Le Représentant résident du PNUD, dans son intervention, s’est réjoui de la tenue d’atelier de vulgarisation du Code de bonne conduite, véritable guide de référence pour les journalistes dont l’appropriation permettra de faire un travail d’analyse et de mise en perspective, apportant une valeur ajoutée à l’information brute récoltée, en se conformant aux impératifs éthiques du métier. De son côté, Mme la Ministre de l’Information et de la Communication s’est réjoui de l’existence du Code de bonne conduite qui constitue un Guide référentiel pour une pratique responsable du journalisme en Guinée. Le Président de la HAC a, quant à lui, insisté sur le fait que ce Code n’est pas un Code de la HAC mais un Code des journalistes guinéens qu’ils ont eux-mêmes établi en s’inspirant des bonnes pratiques dans la sous-région.
