Après sa plainte contre trois journalistes dans ce prétendu détournement de 200 milliards. Après la révélation de certains sites d’informations de la place en accusant, la ministre de l’Enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’Emploi, accusant Mme Nabaya de détourner un montant de plus de 200 milliards GNF. Une affaire qui a d’ailleurs éclaboussé tout le peuple de Guinée, l’accsuée a saisi la justice guinéenne pour faire jaillir la vérité dans cette affaire qui continue à ternir son image.N’a-t-il pas le droit de saisir la justice ? Je dirais oui, elle a le plein droit de faire recours à la justice si elle estime avoir été brimée dans ses droits.
Accusée à tort ? La jeune ministre Zenab Nabaya Dramé, est devenue la cible de certains médias de la place à travers les attaques répétées contre elle pour une affaire de présumé détournement d’un montant de plus 200 milliards de GNF ,dont des sites d’
Mais cette campagne de chantage et de diffamation dans certains médias du pays n’est-elle pas orchestrée par des personnes de mauvaise foi qui veulent la tête crue de Madame Nabaya ?
Pour parler du comportement peu orthotoxe de ces journalistes sur ce sujet qui est aujourd’hui sur les lèvres de la majeure partie des Guinéens.Le droit autorise et garantie à la ministre de l’Enseignement TEchnique,de la formation professionnelle et de l’Emploi de porter plainte contre x si elle s’est sentie toucher dans son honneur sans preuves ni arguments.Chaque citoyen ou citoyenne a le droit de porter plainte contre n’importe qui si elle est accusée ou encore diffamée dans une affaire comme ce dossier présumé détournement de plus 200 milliards GNF. C’est ce que Mme Nabaya a voulu faire en portant la plaine contre des médias qui ont relayé des informations concernant un cas détournement dont telle serait responsable.Mais très malheureusement ,la plus part des médias de la Guinée s’attaquent à la pauvre dame parce que tout simplement elle a voulu laver son honneur en saisissant la justice. Il faut donc préciser que l’accusée ne s’est pas attaquée et ne peut s’attaquer à tous les medias.Mais elle veut soigner son image qui est dejà ternie par cette information de presumé detournement.
Son avocat, maître Dinah Sampil a apporté quelques précisions au cours d’un point de presse organisé en début de semaine. « C’est à l’accusateur d’apporter les preuves de l’accusation, ce n’est pas à l’accusé, parce qu’il est présumé innocent. J’ose croire, jusqu’à preuve du contraire, que les journalistes qui ont fait ces révélations, ne sont pas partis de rien, du néant; qu’ils ne sont pas partis de leur propre intention de nuire, qu’ils ont de preuves qu’ils doivent fournir pour accabler la personne indiquée. Alors, s’il faut dire que c’est à madame Zenab Dramé d’apporter des preuves, mais on ne les trouvera pas », a dénoncé Me Dinah Sampil. Plus loin, il a lévé l’équivoque par rapport à la campagne de denigrement de la plus des médias aujourd’hui contre la pauvre Dame. « Mme Nabaya n’a pas porté plainte contre toute la presse Guinéenne.Mais plutôt contre certains », a précisé l’avocat de l’accusée.
En conclusion, des sources bien édifiées nous révèlent que des cadres opportunistes et chercheurs de postes au sein de l’administration Guinéenne auraient commandité tout se désordre dans la cité pour faire tomber la tête de la jeune ministre Nabaya.
Lansana Touré, ressortissant Guineen en France