Les travaux du 1er congrès de la société guinéenne de la pathologie infectieuse et tropicale ont été officiellement lancé jeudi 10 octobre 2019 à Conakry autour du thème : ” infectieuses associées aux soins et résistance anti microbiens en Afrique sub-saharienne ” dans le contexte “One Health”
L’ouverture des travaux de cette rencontre de deux jours s’est tenue en présence des autorités du ministère de la santé mais aussi des experts venus de la sous-région ouest-africaine.
A l’occasion, le président de la SOGUIPIT Mohamed Saliou Sow a fait savoir que la résistance aux antis microbiens constitue une menace de santé publique croissante car, elle compromet l’efficacité de la prévention et du traitement des infections due à des bactéries, des parasites, et des virus.
« L’ancienne Directrice de l’Organisation Mondiale de la Santé disait lors d’une conférence mondiale sur la santé que la menace de résistance aux antis microbiens en progression constante signifie que nous risquons d’entrer dans une erreur poste antibiotique au-cours de laquelle les infections courantes seront à niveau meurtrier, une erreur qui pouvait marquer la fin de la médecine moderne .J’espère qu’à la sortie de ce congrès les participants ferons une restitution fidèle dans leurs chefs-lieux »
De son côté, le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé en Guinée, Dr Alfred Kizerbo s’est réjoui du leadership du Gouvernement guinéen pour bien appuyer l’émergence donnée à une société servante consacrée à la pathologie infectieuse comme SOGUIPIT qui est devenu un modèle dans la lutte contre les maladies infectieuses.
Pour finir, il a indiqué que sa structure (OMS) est fin prête à accompagner toute association qui se bat pour la santé publique »
Limbita Camara