Les responsables du Syndicats Libres des Enseignants Chercheurs de Guinée (SLECG) ont menacé hier jeudi les autorités de faire la lumière sur le cas de violence dont Aboubacar Soumah et autres membres ont été victimes, lors de la célébration de la fête internationale du travail au palais du peuple.
Pour le responsable de communication du SLECG, Mohamed Bangoura, la fête c’est pour tous les travailleurs de la Guinée. « Mais si des personnes se sont attaquées en nous, nous estimons que le gouvernement doit prendre ses responsabilités pour mettre main sur eux ».
Plus loin, il a précisé que son institution accorde au gouvernement un délai d’un mois et quelques jours pour faire la lumière sur la violence qu’a subit le secrétaire général du SLECG, Aboubacar Soumah et certains membres.
« Si rien n’est fait jusqu’au 30 juin prochain, nous passerons par tous les moyens légaux à notre disposition pour obtenir quelque chose. Le SLECG dirigé par Aboubacar Soumah usera de tous ses moyens légaux pour se faire entendre ». Menace-t-il Mohamed Bangoura.
Fanta Kamano